Un appel vital à la nation canadienne-française

Un appel vital à la nation canadienne-française

L’affaire « George Floyd » a bouleversé l’actualité. De la crise covidienne, les regards se dirigèrent vers les luttes raciales. Un enjeu états-unien qui eut des échos même au Québec. La majorité historique québécoise devenait (ou redevenait, c’est selon) une cible de choix pour une gauche mondialiste qui allait profiter de l’incident pour chercher à mettre de nouveau en échec le nationalisme québécois, l’associant, évidemment, aux pires formes de racisme et d’esclavagisme de l’histoire humaine.  

Cette affaire a mené à une manipulation idéologique d’une rare intensité. A coups de propagandes savamment misent en place, les revendications supposément progressistes derrière les nombreuses manifestations cachaient pourtant parmi elles une autre réalité, celle d’un agenda anarcho- communiste. Les médias traditionnels y assumèrent pleinement leur militantisme gauchiste et mondialiste en délaissant toute forme d’objectivité. Leur sens critique s’est volatilisé pour faire place à une dictature de l’émotion qui interdit à quiconque de dévier du schéma narratif dominant.

Cette nouvelle gauche, qui s’est infiltrée dans chacune des sphères de notre société, impose son idéologie. Dans celle-ci, il y a l’affirmation d’un prétendu suprématisme blanc qui oppresserait les minorités culturelles. Cette victimisation, outil politique par excellence, déresponsabilise et dédouane le comportement souvent erratique et malhonnête de certains politiciens et confère un alibi rêvé aux groupuscules violents à la sauce Antifa. Les autorités resteront donc insensibles et immobiles devant le vandalisme, la casse et le vacarme conduits par les contestataires. 

Une forme de pensée unique se matérialise maintenant de plus en plus. Elle rend difficile voire impossible les débats et la pleine liberté d’expression, tous deux principes élémentaires de notre démocratie. Voilà une gauche mondialiste qui dénonce le racisme dans un exercice de révisionnisme historique abracadabrant et une droite nationaliste qui doit se plier à ce supplice idéologique et se repentir piteusement. Comment ne pas éprouver un malaise devant la complicité, la naïveté et l’aplaventrisme de ces blancs occidentaux qui, torturés par les remords, s’agenouillent puis s’excusent du comportement paraîtrait-t-il disgracieux de leurs ancêtres qui pourtant vécurent à des époques où les mœurs et coutumes étaient jadis bien différentes aux nôtres ? Et comment ne pas être frustré et attristé devant le saccage de nos plus beaux monuments publics au nom d’un mouvement politique ? Une réécriture de l’histoire à la sauce orwellienne se dessine dans une indifférence presque généralisée. Nos élus ont pour la plupart adopté un ton mondialiste décomplexé et moralisateur faisant d’eux des adeptes de la rectitude politique et de l’immigrationnisme. Ils ont par le fait même abdiqué leurs responsabilités de défenseurs de nos traditions et trahirent en quelque sorte ceux qu’ils prétendent représenter.   

Le Québec n’y échappe pas. Sa classe politique n’écoute plus. François Legault, devenu Premier ministre parce que la majorité historique québécoise, les Canadiens français du Québec, lui avait fait confiance, nous a aussi abandonné. Son nationalisme pépère et sa gestion totalitaire de la crise covidienne l’ont transformé en politicien comme les autres, c’est-à-dire en un triste partisan dopé par le pouvoir qui regarde de haut ses concitoyens. Cette constatation est douloureuse pour tout nationaliste qui cherche à préserver une identité canadienne-française très fragile. Le Québec est une société libre, une nation française en Amérique qui malgré une histoire ponctuée de défaites et de périls, a su, par le courage et la détermination de ses glorieux ancêtres, éviter une folklorisation certaine voire une assimilation complète. Une histoire imparfaite, certes, mais que nous, leurs héritiers, n’avons ni à cacher ni à renier. Au contraire. Par son statut de minorité nord-américaine, le peuple québécois fût l’opprimé et non l’oppresseur. Les pionniers de la nation québécoise nous ont donné la liberté, la démocratie, une autonomie économique et politique…et des leçons de patriotisme. Ils ont lutté pour préserver notre langue, notre foi, notre identité, notre unicité, notre patrimoine, notre culture. La gauche mondialiste québécoise, fanatisée et militante, tente toutefois d’accomplir, par son ethnomasochisme chronique, le destin dessiné par le conquérant anglais : notre disparition.

La haine de soi est donc le nouveau leitmotiv de la gauche mondialiste – et de la droite libérale. Elle se veut idéologique mais aussi capitaliste puisque pour justifier leur existence, les organismes antiracistes ont besoin d’un climat oppressif et malsain – quitte à créer une crise raciale artificielle ou un concept de racisme systémique imaginaire qui s’en prendra aux Québécois de souche européenne. Cette stratégie est plutôt théâtrale et sonne faux. Par leur mépris du nationalisme, certains gauchistes bobos ne veulent-ils pas tout simplement étaler leur vertu ou autrement dit se retrouver du bon côté de l’histoire, être dans l’idéologie dominante ?  

Les mondialistes voudront par exemple que la St-Jean-Baptiste, fête patriotique des Canadiens français, se transforme en célébration multiethnique de type « nationalisme civique ». Ils diront dans rire que le discours des identitaires fait peur et qu’il faut adhérer non seulement au culte du mondialisme (et de ses dérivés que sont entre autres le multiculturalisme et l’immigrationnisme) mais aussi à une forme de déconstruction d’une société malade. Certains souverainistes québécois mous, amourachés de la social-démocratie et du mondialisme, déchantent rapidement lorsqu’on les abordent avec les enjeux identitaires  qu’un Québec indépendant se résumerait d’abord à la préservation de notre langue et de notre culture d’essence française et catholique, à l’instauration de frontières, d’une banque centrale, d’une armée, d’un hymne national, d’un drapeau, d’institutions politiques, tous des symboles identitaires éloignés de leur utopie mondialiste, celle d’être un « citoyen du monde ». Un peu comme les solidaires de QS qui ne jouent aux souverainistes pressés qu’à des fins électoralistes et qui sait ? peut-être aussi pour affaiblir de l’intérieur un mouvement souverainiste gangréné jusqu’à la moelle par les forces mondialistes et gauchistes.

Heureusement, il y a encore des patriotes prêts à défendre leur pays : mais ils deviennent vite des parias dans l’esprit des mondialistes. Le défi est de taille. Nous partons de loin. Comment peut-on espérer l’indépendance du Québec quand la gauche soi-disant souverainiste ne place même pas notre propre histoire au centre de son action politique ? et si elle ne reconnaît pas notre caractère unique et historique ? Il n’y a que la droite identitaire pour se battre farouchement contre notre mort annoncée. La préservation de la nation canadienne-française n’est-elle pas le principe fondateur derrière le mouvement souverainiste ? ne résume-t-elle pas à elle seule pourquoi il est si urgent d’accéder à notre indépendance politique ?

Le mondialisme, par son arme de prédilection, l’immigration de masse, dénature notre belle identité canadienne-française. Notre lutte prioritaire devient donc la démographie. C’est se battre contre une noyade migratoire institutionnalisée et programmée de toutes pièces entre autres par le gouvernement fédéral. Les Canadiens français auront aussi à rallumer cette flamme patriotique si cruciale pour la survie de notre petit peuple isolé. Pour crier haut et fort notre besoin de liberté. Une liberté pour s’assurer du respect de nos droits collectifs et historiques. Ces droits doivent faire abstraction de toute forme de partisanerie politique. La pérennité de notre nation ne se concrétisera pas qu’avec des victoires électorales. Le peuple a porté au pouvoir une CAQ dite « nationaliste » et pourtant rien ne change. Le poids de la majorité historique québécoise sur son propre territoire fond comme neige au soleil : notre déclin a débuté, d’où l’importance d’abaisser considérablement les seuils d’immigration et de se réapproprier notre identité historique. Les partis politiques québécois n’ont en contrepartie rien à proposer, outre des peccadilles purement esthétiques. Les enjeux identitaires les effraient ou du moins, c’est l’impression qu’ils donnent. C’est ce qui est plus désolant et angoissant.

Le citoyen moyen, quoique silencieux, garde profondément en lui cette fibre patriotique, elle qui se transmet, malgré tout, de génération en génération. Ce silence indique, il est vrai, un peu d’indifférence. La classe moyenne jouit de son confort et de sa quiétude. De plus, les gouvernements ne lui accordent que très peu de répit : l’État siphonne son portefeuille, le materne, l’étouffe et l’ignore. Elle doit gagner sa vie, nourrir sa famille ; la routine l’éloigne du militantisme et fatiguera même les plus endurants. Le temps défile à une vitesse vertigineuse − du berceau au tombeau, un jour tu as seize ans et le lendemain tu es désormais un homme vieillissant. Nos traditions s’envolent. Notre société laïque et mondialiste moderne efface les réflexes identitaires qu’avaient nos aïeux. La société de consommation a pris toute la place. La puissance de la gauche mondialiste a aussi contribuée à aseptiser notre quotidien. Elle censure les idées contraires. Elle ostracise et pointe du doigt ceux qui sortent des sentiers battus. Elle voit dans le nationalisme le mal incarné ou disons-le clairement, elle le considère comme étant une menace pour son hégémonie.

Plusieurs fiers héritiers des colons bâtisseurs de la Nouvelle-France n’osent même plus afficher leur nationalisme de peur d’être accusés des pires étiquettes : en cette période de grande noirceur, la vraie, aimer sa patrie serait synonyme de racisme. Dans bien des sphères de la société, ce qui comprend la classe politique, déroger de la pensée unique est presque suicidaire. C’est un acte de désobéissance civile. Le régime canadien nous enferme dans un carcan idéologique, dans une mentalité du colonisé, dans une lobotomie collective qui voit en nous des soldats mondialistes. Si nous ne sommes pas en mesure de quitter cette maison de fous canadienne, le peuple canadien-français périra. Nous devons prendre conscience que le statu quo mènera tôt et tard à une débâcle démographique prévisible où les victoires électorales nationalistes deviendront des reliques du passé. Les nationalistes qui auront bien voulus se battre apparaîtront sur les banquettes de l’opposition ou dans la marge pendant que les mondialistes célébreront au champagne leur succès définitif.

Les nationalistes doivent se lever et ne jamais plus reculer. Avoir peur d’un combat idéologique, c’est s’avouer vaincu sans avoir même combattu. Nous devons cesser d’avoir des automatismes défensifs. Lorsque le PLQ du 21è siècle prend le pouvoir, il appuie à fond sur son agenda gauchiste, fédéraliste et remplaçiste en rappelant, avec justesse, qu’il été élu démocratiquement, que sa légitimité est sans appel. Hors, une fois au pouvoir, les nationalistes et les conservateurs, eux n’osent pas afficher leurs vraies couleurs et freinent rapidement leur ardeur pour ne pas déplaire. Si l’éphémère gouvernement péquiste de Pauline Marois n’a pu, avec son mandat minoritaire, aller très loin, le CAQ, largement majoritaire, n’a aucune raison elle de reculer si ce n’est que par l’appréhension d’une réaction bruyante de la gauche mondialiste et de certains lobbys. Le gouvernement Legault craint, il ne fait maintenant aucun doute, les débordements d’une potentielle intervention musclée des groupes à la sauce Antifas. Legault doit faire preuve de courage politique en sortant de son prisme politiquement correct. Il doit défendre sa nation, ses origines, bref ceux qui lui ont permis d’occuper le siège de Premier ministre du Québec. Mais son nationalisme peu assumé 
laisse présager un échec retentissant : les changements démographiques vont se poursuivre, l’anglicisation de la grande région métropolitaine aussi, un réseau scolaire qui nivelle vers le bas et qui est à la solde des mondialistes. Legault ne pense qu’en fonction de son image. Il travaille déjà à se réélection. Il n’a pas ce petit quelque chose qui ferait de lui un leader, une inspiration. 

Les nationalistes doivent comprendre que les mondialistes résisteront et ne se formalisent pas d’être impopulaires ; et que nous aurons toujours des adversaires politiques. Nous continuerons d’être une cible pour les Canadiens anglais, les riches, les communautés culturelles, les fédéralistes. Le rêve canadien des immigrants ne s’arrêtera pas. En venant s’établir au Québec, ils viennent d’abord vivre dans un Canada multiethnique. Le fait français du Québec les gêne. Un Québec indépendant viendrait brimer leurs ambitions. Le PQ et la CAQ ont beau jeu de les courtiser, mais ils ne voteront jamais pour un parti prétendument nationaliste et ce même si le programme ne comporte aucune mesure identitaire concrète : un tel parti restera suspect à leurs yeux. C’est pourquoi le PQ et la CAQ gagneraient à proposer un nationalisme revendicateur et émancipateur, la seule alternative possible et logique pour tout parti politique construit autour de bases identitaires. Depuis la défaite référendaire de 1995, le PQ a perdu toute forme d’audace. Il regarde passer comme un vulgaire touriste la parade mondialiste et espère ne pas déplaire à la gauche.

Le peuple canadien-français a encore en lui les cartes de son avenir. C’est sa volonté qui guide, pour le moment, le Québec. Si le peuple décide qu’un gouvernement nationaliste ou indépendantiste doit être à la tête du Québec, ainsi soit-il. Les mondialistes pourront tout démolir s’ils le veulent, mais face à un gouvernement fort qui a l’appui populaire, le calme reviendra bien assez vite. D’ici là, les nationalistes doivent faire des gains. Ne laissons pas le gouvernement « bleu » caquiste avoir des reflets de rouge libéral. Notre objectif en tant que nationaliste est la pérennité définitive de notre nation canadienne-française, celle d’expression française et catholique. 
Pour y parvenir, nous devons arracher le tapis mondialiste canadien et le remplacer par un tapis qui nous ressemble, qui nous identifie.

Une révolution culturelle s’impose pour que nous puissions bénéficier d’une télévision d’État axée sur qui nous sommes vraiment et d’un réseau d’intellectuels nationalistes philosophiquement opposés au discours médiatique habituel. Une vision mettant de l’avant la culture française et canadienne-française et les grands classiques de la culture occidentale. Un nationalisme qui dotera le Québec d’un État français non pas par caprice linguistique mais parce que la langue française est un leg précieux qui mérite un État bien à lui. Un nationalisme d’inspiration hongroise pour mettre en place des mesures natalistes ciblées visant à contrebalancer l’immigration massive de la dernière décennie. C’est finalement faire rayonner notre histoire, notre héritage, notre culture, notre identité à l’intérieur même de notre territoire. 

Le nœud du problème n’est ni les lois ni les structures, c’est le manque de volonté politique, la mainmise de l’État par la gauche mondialiste et avouons-le, un triste désintéressement politique de la plupart d’entre nous. La période faste du nationalisme identitaire qui a suivi la Révolution tranquille n’a pas durée. Ces artisans voulaient célébrer le Québec français en lui ajoutant une touche laïque et progressive ce qui pour l’époque, était naturelle. Par contre, ce mouvement a été détourné par une gauche multiculturaliste agressive. A partir des années 80, elle a propagé son influence dans le milieu scolaire et universitaire. Celui qui contrôle l’éducation contrôle le présent et le futur. C’est ce qui est en train de se produire. Cette gauche a atteint récemment des sommets psychotiques alarmants. Son révisionnisme place maintenant Churchill, Colomb, Louis XIV et mêmes Jules César et Gandhi parmi les salauds de l’histoire. Colomb, oui, celui-là même mort il y a plus de cinq cents ans ; Churchill, oui, celui-là même qui sauva les fesses de l’Angleterre lors de la Seconde Guerre mondiale en luttant contre le nazisme. Des nationalistes comme Lionel Groulx et Maurice Duplessis seront sans doute un jour dans la mire de cette gauche débilitante. Nos personnalités historiques ne sont pas reliés directement à la cause des afro-américains mais ils y sont parfois associés par des amalgames fallacieux avec un passé colonial jugé scandaleux. La gauche veut rompre avec notre passé, elle veut une rupture brutale. C’est le phénomène normal d’une guerre culturelle et révolutionnaire. Elle copie l’exemple des révolutionnaires français de 1789 qui voulaient faire table rase des symboles monarchistes (monuments, tombeaux, etc.). Elle s’inscrit donc dans une forme de continuité historique, dans une vieille tradition de la gauche marxo-communiste qui jubile à l’idée de déconstruire au nom du « progrès » humain. Un rapport à l’histoire qui change, un patrimoine qui est menacé et négligé. Plus les Canadiens français s’agenouilleront et plus nos figures marquantes seront elle aussi attaquées. 

En somme, à trop jouer la carte du racisme, ce mot n’aura bientôt plus aucunement signification. Nous deviendrons insensibles au vrai racisme et au sort malheureux des membres de certaines communautés. Les hurlements planétaires de la gauche mondialiste enlève bien de la crédibilité à leur cause. Le citoyen moyen commence à en avoir ras-le-bol de se faire sermonner. Nous le sentons. La gauche mondialiste attise les tensions et la haine. Un jour elle frappera un mur. Le peuple se fâchera. Des conflits ethnoculturels à l’apparence de guerre civile apparaîtront. Nos petits génies gauchistes aspirent peut-être volontairement à un tel scénario catastrophique car du chaos naîtrait son emprise sur le pouvoir. 

Une lutte à un racisme imaginaire donc qui n’est selon toute vraisemblance qu’un prétexte ou une ruse politique. Pour culpabiliser les blancs. Les rendre inoffensifs et manipulables. Une gauche qui veut avant toute chose notre soumission. Qui ne veut pas dialoguer. Qui veut avoir raison. Qui veut nous mettre à genoux. Qui veut imposer SA vérité. L
a farce a assez durée. Notre devrons tôt ou tard lui répondre politiquement et métapolitiquement. Les Canadiens français ne sont pas racistes. Le racisme systémique n’existe pas ici. Et ce débat sur le racisme ne nous regarde pas. Le peuple canadien-français doit sortir la tête de l’eau et ne plus écouter ces sornettes, ces pitreries ridicules. Ces mots de René Lévesque doivent nous rester en mémoire : « Nous sommes quelque chose comme un grand peuple ». Croyons en nous. Sortons du postnationalisme canadien. Ne nous laissons pas intimider. En l’absence de volonté politique claire, développons un esprit de corps. Reconquérons les thèmes identitaires. Bâtissons un pays à notre image. Nous le devons à ceux qui se sont sacrifiés pour l’avenir de notre patrie adorée. 

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